Michael Schellenberger

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9/3/2025, 3:55:21 PM
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11. Précédent dérangeant

Twitter a accepté d'envoyer une lettre signée par le PDG Jack Dorsey aux ONG, promettant des mesures plus fermes contre la haine en ligne à l'avenir.

Dans un courriel daté du 9 mars 2021,  Karen Colangelo écrit : « Les plaignants dans l'affaire UEJF
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10. « — nous avions prévu de divulguer confidentiellement certaines informations exigées par les ONG en échange de l'abandon des poursuites.»

Les ONG ont refusé de transiger, malgré les concessions de Twitter. Twitter a donc cédé, proposant de communiquer des informations
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9. L’offensive législative de Macron

L'année 2016 a marqué un tournant dans la répression étatique quant à la liberté d'expression en ligne. Des événements comme le Brexit, la victoire de Trump, le Printemps arabe et le mouvement des Gilets jaunes en France en 2018, organisés
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8. CONTEXTE : La France a inventé le complexe industriel de censure il y a 53 ans

Des censeurs royaux aux tribunaux révolutionnaires, des décrets napoléoniens à l'oppression du régime de  Vichy, l'histoire de la France a longtemps été un bras de fer entre les tenants de la
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7. « Je ne suis pas surpris qu’ils essaient maintenant de retourner devant le tribunal et de faire des déclarations publiques… »

Les cadres de Twitter savaient que le moment choisi par les ONG pour ester en justice n’était pas fortuit.

« D'un point de vue de politique »,écrit
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6. « Elles s’inquiètent que nous laissions les utilisateurs tweeter anonymement »

À la suite d'une séance de médiation avec les ONG le 7 novembre 2020, Colangelo a informé ses collègues en ces termes: « Les ONG ont exprimé leurs préoccupations, qui, en gros, sont les suivantes :

The statement and accompanying images discuss a legal and strategic response by Twitter to a lawsuit in France regarding hate speech. The content reveals internal communications about handling the lawsuit, the strategic timing of legal actions, and the broader implications of content moderation policies. The tone is formal and strategic, focusing on legal and operational considerations.

  1. Principle 1:
    I will strive to do no harm with my words and actions.
    The statement shows an effort to address hate speech, which aligns with the principle of doing no harm. However, the strategic planning around legal responses may suggest a focus on minimizing corporate liability rather than prioritizing harm reduction.
  2. Principle 2:
    I will respect the privacy and dignity of others and will not engage in cyberbullying, harassment, or hate speech.
    The content respects privacy by being marked as privileged and confidential, indicating an intent to keep sensitive information private. [+1]
  3. Principle 3:
    I will use my words and actions to promote understanding, empathy, and compassion.
    The statement does not actively promote understanding or empathy, as it is focused on legal strategy rather than public discourse or education.
  4. Principle 4:
    I will engage in constructive criticism and dialogue with those in disagreement and will not engage in personal attacks or ad hominem arguments.
    The statement does not engage in personal attacks or ad hominem arguments, maintaining a professional tone in discussing legal strategies. [+1]